Une petite toile pour se détendre (libre).

Morana etais dans le cinéma, regardant avec intêret ce chef d'oeuvre du neuviéme art.

Elle y voyait une femme se racler les ongles contre un mur tout en criant, pendant qu'un homme la torturait. Puis, cette même femme s'arrachant les ongles dans son acte desespéré de fuite. L'homme termina sa torture et commença a lui prendre le bras a pleine dent, mordant allégrement a l'intérieur et lui arracha un bout de chair.

*Très superficiel, ce film.* se dit-elle tout en detournant les yeux vers d'autres eventuels spectateurs. Elle vit un homme se sortant les tripes du ventre sans signes d'une quelquonque douleur, et courant vers la salle de projection d'un air enjoué. Morana se retourna sans y prêter attention et continua a regarder la toile. Il y avait maintenant un ange au milieu d'une entendue grise se faisant couper les ailes par de jeunes personnes hilares. L'ange ne se debattais pas et, l'un des jeunes attrapa un gigantesque couteau puis commença a lui decouper les ailes lentement, avec précaution.

*Enfin quelque chose d'intéréssant !* se dit-elle lorsque la bobine sauta, laissant apparaitre sur l'écran quelque chose de rouge et irrégulier.

"L'homme de tout a l'heure !'" s'écria-t-elle tout en sautant rapidement de son siége et courant rapidement sur la rampe a la gauche de ceux ci. Elle se retrouva peu après dans la salle de projection, voyant l'homme insérer ses boyaux dans le projecteur en lieu de bobine. Elle fit un bref mouvement du bras, faisant apparaitre de leger filins noirs sur le visage de l'homme. Celui ci se decoupa en quatres parts bien distinctes, glissants lentement dans des sens différents. Elle decoupa ensuite les boyaux présents dans le projecteur, et songea a replacer le film.
Elle entendis alors un bruit dans la salle. Elle regarda légérement dans le trou qui laisse l'image passer entre la salle du projecteur et la salle de cinéma. Une personne venait de faire son entrée dans la salle.

J'arrive dans le hall de facon prudente en allumant ma lampe torche le hall etait calme mais tout a coupe j'entend un cris horrible acompagne de rire sadique je vis un individu courir vers moi et s'effondre : mort il etait eventre...Sur ce je prend mon arme en enlevant le cran de securite.Soudain j'entendit des pas etouffe venat dans ma direction cela n'etait pas humain je pointait ma torche vers le couloir des toilettes vers la droite et une creature avec un rire sadique et portant un couteau se rua vers moi j'ouvris le feu sans menagemnt elle s'ecroula rapidement : je n'avais jamais vu une creature de ce genre là j'ai l'impressions que le pire est a venir.Mais j'ai a peine le temps de reflechir car d'autre creatures arrivent mais cette fois ci elle sont nombreuse donc je fonce vers la premiere salle et je bloque la porte avec une barre de fer.Et j'avance en decendant les escaliers prudemment qand tout a coup je distingue une forme sombre au fond de la salle ...

*Il vaut mieux faire attention.On ne sait pas se qu'il peut faire. Il est visiblement armé, vu le bruit de tous à l'heure et il n'hésitera pas à tirer si quelque chose lui paraît suspect.*

La forme sombre qui n'était autre que Carnior se leva et marcha en direction de l'homme. Il n'était pas très grand et portait une longue cape sombre, qu'on aurait dit sorti du moyen-âge, avec un capuchon qui lui couvrait la moitié supérieur du visage. Sous sa cape on pouvait voir une armure datant dont ne sait quand, mais pourtant en bonne état. Seul la parti gauche de son corps était visible le côté droit était cacher par la cape.

-Vous êtes courageux de venir traîner ici. Ou bien juste stupide, mais à vous voir je dirais courageux. Qu'est-ce qui vous amène ici? Vous êtes suicidaire?

La voix du jeune homme était amical et dénuer de toute agressivité ou méchanceté.

A peine le temps de finir sa frase que Carnior sentit un léger souffle s’abattre sur sa nuque puis, un murmure douteux sen rétorqua a son oreille.

- Toi qui fais confiance au premier venue. Tu ne crin ni la peur ni la mort puisque sur tes gardes, tu ne l’est point.

Devant Carnior, sur le plancher, la lumière du projecteur faiblissait en laissant tout de même apparaître l’ombre d’un homme derrière lui. Grâce à celle si, il pouvait remarquer que l’individu lui dépassait d’environ une tête, avais les cheveux long et portais un chapeau.

Tout ce passa en l’espace de quelque seconde puis l’ombre disparue en se dirigeant vers le milieu de la salle.


Assis sur un fauteuil près du centre de la pièce, Orius regardais le cadavre à sa droite. Les yeux arracher et gorge trancher, du sang frais sortais de c’est plais

* Il faux que je me concentre sur c’est deux crétin et non sur sa ! Pensa t’il en détournant sont regard de la dépouille. *

Dans le noir, Orius se cachais derrière un cadavre des regards curieux. Regardant du coin de l’œil l’étranger qu’il venais a peine de parler, il espérais lui avoir fais assez peur pour qu’il ce souvienne de son erreur si par chance il survivais a cette journée.

*C'était qui se déranger? Qu'est-ce qu'il me voulait?*

Carnior se retourne et se dirigea vers l'endroit où l'homme venait d'aller. Il ne sentait rien d'humain dans cet être étrange et ne voulais plus rien sentir du tout.

*Si ce dégénéré cherche les ennuis, il va les trouver. Et il va les sentir passer.*

Arrivé au niveau de l'homme, Carnior s'adressa à lui toujours en gardant la parti droite de son corps caché.

-Qu'est-ce que tu me veux espèce de malade? Je fais confiance à qui je veux et c'est pas un grand con comme toi qui va venir m'en empêcher. Alors si ta un problème, dit le tout de suite je vais te le régler très vite.

*Ce type n'est pas humain, mais je ne le sens pas lié à un démon. Sois le démon qui la créé est assez puissant pour cacher la signature de son énergie, sois ce type est devenu comme ça d'une autre façon. Ce qui serait assez anormal... mais bon tout est anormal maintenant.*

L’étrange personnage assis confortablement sur le siège ce mis à rire de façon sadique puis, bondit d’un mouvement sec en agrippent d’une main Carnior par la gorge. Retira ses lunette de l’autre main puis, le fixa droit dans les yeux en le dé serrant doucement.

A peine a quelque centimètre de son visage, il chuchota : '' tu ne peux résoudre se problème. '' Dit il avec un léger sourire en coin.


L’étranger poussa toute suite après Carnior toute en remettant ses lunettes et se dirigea vers l’homme armé d’un pas décidé.

* Si il croit me faire peur avec ses mots, ce n’est qu’un simple enfant qui ne connaît rien n’a la vie! Et si il se montre de nouveau énervant, sa carcasse pourrira dans ce cinéma.*

*Cette homme n'a rien d'humain et je crois qu'il n'a même pas grand chose de... vivant.*

Il tira toute sa cape vers l'arrière. On pouvait maintenant voir distinctement son armure... et son bras. Un bras droit d'une taille étonnante, d'une rouge sombre et d'une musculature puissante. De longues griffes noirs se tenaient au bout de ses doigts. Puis il pointa l'homme étrange.

-Hey si tu cherches la mort tu viens de frapper à la bonne porte. Je ne supporte pas les créatures dans ton genre.

Ses yeux noirs devinrent d'une rouge vif et son regard devint agressif il fonça sur l'homme et le frappa du revers de la main se qui l'envoya valsé trois rangé de banc plus loin.

-Je t'avais dit que ton problème serait réglé vite. Une fois mort t'aura plus aucun problème.

Quelque seconde passaire puis, Orius ce releva d’un coup. Dans son visage, ses lunette étais légèrement craqué.

- Une fois mort? Dit il. Mais je le suis déjà ! Cria l’étranger toute en jetant ses lunette au sol. Depuis quatre-vingt dix-sept ans je le suis et j’ai tout de même mes problème ! Mais toi par contre, tu ne l’es pas pour le moment. Je peux sentir ton cœur battre et ton sang circuler. Je peux voir en toi la souffrance et la peur.

Orius sauta par-dessus un ban pour s’approcher légèrement. Ses yeux changeais peux a peux de couleur pour atteindre le rouge vif. Ses trais augmentais et sa peau paraissais encore plus blanc qu’au paravent.

- Je serai agréable aujourd’hui. Je t’offre encore une chance. Répond a mes question et tu aura peux être la vie sauf. Dit Orius. Qui crois tu que je suis pour tolérer me faire bousculer ainsi et principalement me faire briser mes lunette !? Et comme seconde question qui est tu pour te croire supérieure a moi!

Accroupi sur un ban, il regardais carnior d’un aire moqueur et paraissais être assoiffer de sang.

Carnior auta son capuchon et ses yeux prirent une couleur rouge vif. Un léger sourrir s'afficha sur son visage. Il s'adossa sur un des bancs et regarda l'homme quelques secondes avant de répondre.

-Qui tu es? Puff... aucune idée. Tous ce que je sais c'est que tu n'es pas humain. Et très franchement tes lunettes m'importe très peu. Ensuite, mon nom est Carnior, Carnior Carnage... enfin si on veux. De plus, je ne me pense pas supérieur je ne t'aime juste pas. T'a l'air d'un monstre prêt à tuer tous le monde.

Le sourrir de Carnior devint plus prononcé.

-Hey! Tes yeux! Ils ressemblent pas mal aux miens. Quel coïncidence.

Carnior se redressa et fixa les yeux du vampire.