Nouveau patron

Sous la Marche Funèbre de Chopin, Eret rentra dans la librairie "Le Fond des Livres". Il embrassa l'intégrité du magasin avec ses yeux et se demanda se qui c'était produit dans ces rangés de livres. Certaines étaient renversées, d'autre étaient pulverisées. Il sutsur le coup qu'il y avait du pain sur la planche, si il voulait un jour reouvrir le magasin. Pas qu'il éspèrait beaucoup de client, mais il a toujours était fasciné paer les bouquins. Et qui sait, peu-être qu'il y dénichera des informations intéressantes.

Itsuki, las de tout ce remue ménage avait quitté l'utopie des partisans de la foret depuis déjà bien longtemps. Il estimait surtout qu'il avait le droit a un peu de repos dans sa charmante demeure en ruine qu'il aimait tant.
Revoir enfin ses piles de livres soutenant le plafond, cet escalier fait de papier le menant a son septième ciel.

Oh oui, il l'aimait sa petite boutique recelant les mystères de l'espèce humaine!
Quel ne fut sa surprise que d'entendre sa sonnette adoré résonner alors qu'il était encore a deux pâtés de maison de la-dite porte.

Itsuki se rapprocha prudemment. Humains? Démons? Partisans? Peut-importe, s'ils s'introduisaient chez lui, ils devraient en subir les conséquence. Une mort lente, noyé dans son propre pus.

Il rentra par la porte de service avec toute la discrétion dont il était capable dans un lieu qu'il connaissait par cœur. Sortit lentement sa faux et se prépara a décapiter toute personne cherchant a le surprendre.

C'est alors qu'il vit un homme etrange a cinq bibliotheque de lui.

*Merde, un abrutis se sent chez lui... Il faut que je le fasse degager...
Vite, un signe...*

Il chercha des yeux quelque chose qui pourrait faire passer un message du style "Propriété privé, dégage ou t'es mort" C'est alors qu'il mis la main sur un souvenir d'une joute précédente: Un oiseau mort et putréfiant avec lequel il avait lapider une partisane.
Un sourire démoniaque se dessina sur ses lèvres.

Il empoigna l'oiseau grouillant de vers et le lancer en direction de la tête de l'homme, sortit de l'ombre et prit une pause qui se voulait intimidante en attendant que l'homme de dos se prenne l'oiseau et daigne se retourner.

Il verrait alors l'incarnation de la mort, la grande faucheuse au masculin, une tache de tenebre total, encapuchonner dans un long manteau noir rapiécé, une faux cachant a moitié son visage, ne révélant qu'un œil flamboyant du désir de mort.

Eret esquiva de justesse une chose noire qui sentait atroce et se retourna vers la personne. Son regard blue azur devint soudain plus froid que la toundra arctique.
Je supose que vous habitez ici dit-il en montrant la couche dans le fond de la boutique. Désolé pour l'intrusion, mais j'ai toujours été fasciné par les livres et je rêve d'avoir am librairie. Peut se trouvez une entente?
Tout en parlant, il défit le foureau de son épée.

Morana attendais, posée sur le mur juste a côté de l\'entrée, que Tezzeret (HRP : imaginons que tu m\'as dit ton nom) ouvre la librairie et ainsi qu\'elle puisse mettre le meuble a l\'intérieur. Elle entendis une seconde personne parler, et le ton de la conversation monter. Elle décida alors de rentrer malgré tout.

\"Salut.\"

Elle ne savait comment réagir face aux deux hommes semblant vouloir s\'affronter. Elle resta alors neutre.

Itsuki senti l'excitation se grimper le long de son échine a la vue de la lame se préparant a sortir. A tel point qu'il n'avait même pas remarqu" l'intrusion d'une troisieme personne.

"Voila qui est bien inhabituel comme methode de negotiation...
Range cette lame, tu n'as pas a me menacer dans ma demeure petit présomptueux!"

Une ombre de mort commençait a monter autour d'Itsuki au gré de sa colère. et de ses frémissement. Il décida tout de même de se calmer. Apres tout, il n'avait fait que forcer son entré et adopté une posture agressive tout en voulant lui prendre le lieux où il vivait..
Ça ne méritait pas encore une mort atroce...

Quoi que..

Eret remarqua que l'air s'était alourdit et sentait la mort, ce qui ne lui plut pas. Il rattacha son foureau et laissa son aura glacial remplir la pièce. Semblant comprendre la raison de la colère, il dit
Ok,ok! Tu peux garder ton coin, je veux juste remettre un peu d'ordre là-dedans. Dit moi pas que tu l'aime comme qu'elle est -tu n'a pas envie de faire le ménage, c'est tout. Alors je me propose de le faire à ta place.
Le tout était dit sur un ton froid et amère. Il était peut-être une nouvelle recrue, mais il n'avait pas l'intention de se laisser marcher sur les pieds. Des floccons apparurent dans l'air et le plancher se recouvrit d'une couche de givre.
Mais range cette chose, tu pourrais blesser quelqu'un.